Directeur de recherche
Corine BERTOLOTTO
Prix Dandrimont-Bénicourt, Fondation de l’Institut de France, Distinction de l'Académie des Sciences
Thèmes de recherche
Corine Bertolotto est directrice de recherche, au sein de l’équipe Biologie et Pathologies des mélanocytes qu’elle co-dirige avec Robert Ballotti au Centre Méditerranéen de Médecine Moléculaire (Inserm/Université Côte d’Azur).
Son équipe a identifié une mutation dans MITF, le gène maitre du lignage mélanocytaire, comme étant un facteur de risque au mélanome cutané. Cette découverte a mené à de nouvelles recommandations dermatologiques en France.
Les travaux de l’équipe se sont également intéressés à la plasticité cellulaire, un processus qui permet aux cellules tumorales de s’adapter et d’échapper aux traitements anti-cancéreux et qui conduit aux récidives. L’équipe a été pionnière dans la mise en évidence du rôle clé de MITF dans la plasticité des cellules de mélanome cutané et a identifié deux voies importantes qui contrôlent la plasticité et la résistance aux traitements.
Enfin, un nouveau projet sur les mélanomes uvéaux, entités distinctes des mélanomes cutanés a permis à l’équipe d’identifier des signatures moléculaires prédictives de l’évolution métastatique des mélanomes uvéaux primaires. Ces biomarqueurs pourraient être d’un intérêt majeur à l’heure de la médecine personnalisée pour adapter le suivi des patients et leur prise en charge.
Corine Bertolotto est immensément reconnaissante aux membres de son équipe, ses collaborateurs, et aux organismes qui ont financièrement soutenu ses recherches.
Son équipe a identifié une mutation dans MITF, le gène maitre du lignage mélanocytaire, comme étant un facteur de risque au mélanome cutané. Cette découverte a mené à de nouvelles recommandations dermatologiques en France.
Les travaux de l’équipe se sont également intéressés à la plasticité cellulaire, un processus qui permet aux cellules tumorales de s’adapter et d’échapper aux traitements anti-cancéreux et qui conduit aux récidives. L’équipe a été pionnière dans la mise en évidence du rôle clé de MITF dans la plasticité des cellules de mélanome cutané et a identifié deux voies importantes qui contrôlent la plasticité et la résistance aux traitements.
Enfin, un nouveau projet sur les mélanomes uvéaux, entités distinctes des mélanomes cutanés a permis à l’équipe d’identifier des signatures moléculaires prédictives de l’évolution métastatique des mélanomes uvéaux primaires. Ces biomarqueurs pourraient être d’un intérêt majeur à l’heure de la médecine personnalisée pour adapter le suivi des patients et leur prise en charge.
Corine Bertolotto est immensément reconnaissante aux membres de son équipe, ses collaborateurs, et aux organismes qui ont financièrement soutenu ses recherches.