Corine BERTOLOTTO
Directrice de recherche Inserm
Fritz Anders Medal and Lecture
Société Européenne de Recherche sur les Cellules Pigmentaires (ESPCR)
Discipline(s) enseignée(s)
Biologie Médecine et Santé
Thèmes de recherche
Corine Bertolotto est directrice de recherche INSERM, et responsable, avec Robert Ballotti, de l’équipe « Biologie et Pathologies des mélanocytes: de la pigmentation au mélanome » au Centre Méditerranéen de Médecine Moléculaire (Inserm/Université Côte d’Azur).
Elle travaille depuis plus de vingt ans sur les mécanismes moléculaires impliqués dans la physiopathologie des mélanocytes. Ses travaux s’attachent d’une part à comprendre la fonction des mélanocytes et comment ils régulent la pigmentation qui joue un rôle clé dans la protection contre les effets délétères des rayonnements solaires et d’autre part, ils s’intéressent aux mécanismes de la cancérisation des mélanocytes qui conduit aux mélanomes, et à la progression de ces tumeurs extrêmement dangereuses. En particulier, elle a découvert un nouveau gène de prédisposition au mélanome cutané qui a conduit à de nouvelles recommandations nationales pour le suivi dermatologique des individus à risque. Le mélanome peut aussi apparaître dans d’autres parties du corps où se trouvent des mélanocytes, comme l’œil. Les mélanomes oculaires et cutanés sont différents. Son équipe étudie aussi la biologie des mélanomes oculaires avec l’objectif d’identifier des stratégies thérapeutiques efficaces pour améliorer la survie des patients.
Corine Bertolotto remercie les membres passés et présents de son équipe, ses collaborateurs, et les organismes qui ont financièrement soutenu ses recherches. Elle partage ce prix avec Robert Ballotti.
Elle travaille depuis plus de vingt ans sur les mécanismes moléculaires impliqués dans la physiopathologie des mélanocytes. Ses travaux s’attachent d’une part à comprendre la fonction des mélanocytes et comment ils régulent la pigmentation qui joue un rôle clé dans la protection contre les effets délétères des rayonnements solaires et d’autre part, ils s’intéressent aux mécanismes de la cancérisation des mélanocytes qui conduit aux mélanomes, et à la progression de ces tumeurs extrêmement dangereuses. En particulier, elle a découvert un nouveau gène de prédisposition au mélanome cutané qui a conduit à de nouvelles recommandations nationales pour le suivi dermatologique des individus à risque. Le mélanome peut aussi apparaître dans d’autres parties du corps où se trouvent des mélanocytes, comme l’œil. Les mélanomes oculaires et cutanés sont différents. Son équipe étudie aussi la biologie des mélanomes oculaires avec l’objectif d’identifier des stratégies thérapeutiques efficaces pour améliorer la survie des patients.
Corine Bertolotto remercie les membres passés et présents de son équipe, ses collaborateurs, et les organismes qui ont financièrement soutenu ses recherches. Elle partage ce prix avec Robert Ballotti.