Professeur des universités
MME Edith Galy
Coordonnées
- Edith.GALY@univ-cotedazur.fr
- Site internet
- http://univ-cotedazur.fr/annuaire/edith-galy
Discipline(s)
Lettres et sciences humaines > Psychologie, psychologie clinique, psychologie sociale
Discipline(s) enseignée(s)
- Méthodologie de la recherche
- Démarche ergonomique
- Statistiques
- Ergonomie des situations de travail
- Ergonomie cognitive des IHM
- Psychologie cognitive et sociale
- Recueil et traitement de données d'entretiens, d'observations et de questionnaires
Thèmes de recherche
- modélisation de la charge mentale de travail
- qualité de vie au travail
- ergonomie différentielle
- nouvelles organisations de travail
- espaces de travail ouverts
Activités / CV
A partir de Juillet 2023 Directrice du laboratoire de recherche LAPCOS, Université Côte d'Azur
Dep. déc 2021 Coordinatrice de la cellule RPS de l’Université Côte d’Azur
Janv 2021 - Juin 2023 Directrice du département disciplinaire de Psychologie (16e section CNU), UCA
Dep. 2018 Co-directrice du Master mention Psychologie parcours Ergonomie cognitive des technologies numériques, Université Côte d’Azur, EUR Healthy
Dep. Fév 2016 Professeure des Universités – 16e section – Université de Nice Sophia-Antipolis – ESPE de l’Académie de Nice – LAPCOSInformations complémentaires
La charge mentale en situation de travail
Ma thématique de recherche principale a porté longtemps sur les relations existant entre les horaires de travail et l’efficience des opérateurs. En particulier, les études que j’ai menées dans ce cadre ont été conduites auprès de travailleurs postés dans des milieux à risque. Mon objectif était de comprendre comment interagissent les différents facteurs qui sont responsables de la performance des opérateurs. Progressivement, j’ai abordé la question en mettant au cœur de mes réflexions les concepts de vigilance et de charge mentale de travail. La compréhension de l’interrelation entre ces deux concepts m’a permis d’aboutir à un modèle transactionnel ICA (Individu – Charge mentale – Activité) qui prend en compte les caractéristiques individuelles des opérateurs (physiologiques, cognitives, affectives, sociales), les caractéristiques de la tâche, et le contexte d’exécution de la tâche (cf, résumés des publications les plus significatives). Le lien entre, d’un côté, ce qui relève de l’individu et, de l’autre, ce qui relève de l’activité peut être fait en considérant différentes composantes de la charge mentale de travail (charge intrinsèque, charge externe et charge essentielle) et les ressources de l’opérateur et en étudiant l’effet de chacune de ces caractéristiques sur les différentes composantes de la charge mentale. A partir de ce modèle théorique établi grâce aux données recueillies sur de nombreux terrains, une échelle d’évaluation de la charge mentale de travail a été élaborée et validée. Cette échelle est composée des 4 dimensions sus-citées : charge intrinsèque, charge externe, charge essentielle et ressources disponibles. La mise en correspondance de ces 4 dimensions nous donne une indication de la charge mentale globale, mais nous permet également de faire la distinction entre la charge entravant l’activité et celle bénéfique à l’activité. Cette échelle se veut être un outil de pré-diagnostic des situations de travail. Je poursuis également les recherches sur cette thématique par des études de cas permettant de valider la pertinence de l’utilisation de cette échelle sur le terrain pour comprendre les facteurs responsables de la charge mentale et pouvoir identifier les éléments de la situation problématiques dans le but de les améliorer.
Ma thématique de recherche principale a porté longtemps sur les relations existant entre les horaires de travail et l’efficience des opérateurs. En particulier, les études que j’ai menées dans ce cadre ont été conduites auprès de travailleurs postés dans des milieux à risque. Mon objectif était de comprendre comment interagissent les différents facteurs qui sont responsables de la performance des opérateurs. Progressivement, j’ai abordé la question en mettant au cœur de mes réflexions les concepts de vigilance et de charge mentale de travail. La compréhension de l’interrelation entre ces deux concepts m’a permis d’aboutir à un modèle transactionnel ICA (Individu – Charge mentale – Activité) qui prend en compte les caractéristiques individuelles des opérateurs (physiologiques, cognitives, affectives, sociales), les caractéristiques de la tâche, et le contexte d’exécution de la tâche (cf, résumés des publications les plus significatives). Le lien entre, d’un côté, ce qui relève de l’individu et, de l’autre, ce qui relève de l’activité peut être fait en considérant différentes composantes de la charge mentale de travail (charge intrinsèque, charge externe et charge essentielle) et les ressources de l’opérateur et en étudiant l’effet de chacune de ces caractéristiques sur les différentes composantes de la charge mentale. A partir de ce modèle théorique établi grâce aux données recueillies sur de nombreux terrains, une échelle d’évaluation de la charge mentale de travail a été élaborée et validée. Cette échelle est composée des 4 dimensions sus-citées : charge intrinsèque, charge externe, charge essentielle et ressources disponibles. La mise en correspondance de ces 4 dimensions nous donne une indication de la charge mentale globale, mais nous permet également de faire la distinction entre la charge entravant l’activité et celle bénéfique à l’activité. Cette échelle se veut être un outil de pré-diagnostic des situations de travail. Je poursuis également les recherches sur cette thématique par des études de cas permettant de valider la pertinence de l’utilisation de cette échelle sur le terrain pour comprendre les facteurs responsables de la charge mentale et pouvoir identifier les éléments de la situation problématiques dans le but de les améliorer.
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