L'incroyable plongée de Nicolas Mattias : au-delà des limites pour une cause qui compte !

Aujourd'hui, nous avons une histoire qui vous coupera le souffle, celle de Nicolas Mattias, un diplômé de l'EUR HEALTHY d'Université Côte d'Azur (Licence Entraînement Sportif et Master Management du Sport), dont le parcours est une véritable ode à la résilience et à la passion.

Imaginez un enfant confronté au cancer. Pour Nicolas, cette épreuve n'a pas été une fin, mais un tremplin. Après l'avoir surmontée, il a choisi de se jeter à corps perdu dans sa passion : l'apnée. Un sport exigeant, qui l'a poussé à repousser sans cesse ses limites.

Son engagement ne s'arrête pas là. Nicolas est lié de tout son cœur à l'association "À chacun son Everest". Cette association extraordinaire offre des séjours en montagne aux enfants et aux femmes touchés par le cancer, les aidant à retrouver force et espoir. C'est d'ailleurs grâce à eux que Nicolas, à 6 ou 7 ans, a découvert la montagne au Prarion, à Chamonix. Une expérience fondatrice qui lui a appris à ne jamais se laisser enfermer par la maladie et à toujours viser plus haut.

Aujourd'hui, alors qu'il se prépare pour les championnats du monde d'apnée, Nicolas a décidé de transformer cette opportunité en un geste de solidarité. Il a lancé une cagnotte dont 100% des dons iront à "À chacun son Everest". Chaque euro collecté permettra à l'association de continuer son travail vital, offrant à d'autres la chance de se reconstruire et de rêver grand.

Pour Nicolas, c'est aussi un message puissant aux parents d'enfants malades : la maladie n'est pas un point final. Ces enfants ont un potentiel immense et peuvent accomplir des choses extraordinaires.

Nous sommes incroyablement fiers de soutenir Nicolas dans cette magnifique initiative et de porter haut les couleurs de "À chacun son Everest".

Note : L'appel aux dons est porté par l’association "À chacun son Everest". L’Université relaye cette initiative sans percevoir de fonds directement.

Envie d'en savoir plus sur son histoire et de le soutenir ?

Consulter l’article de Nice-Matin